Nouvelles de Maurice Augeul (cours 1958), le 21/12/2017 | ||
|
Pour que chacun(e) puisse participer à la vie de l'Amicale, vous trouverez ici l'essentiel de nos échanges (30 depuis 01/01/2017). Faites-nous part de vos joies, de vos peines, de vos souvenirs, de vos réactions. |
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + Revoir les échanges de 2015 ; de 2016
De Maurice AUGEUL, cours 1958 et aumônier de 1967 à 1985, le 18 décembre
Maurice Augeul célébrait la messe des anciens lors de nos assemblées générales et cette année, cela ne lui a pas été possible ; voici ce qu'il nous écrit :
Je ne vais pas bien. J'ai récupéré une maladie qui s'appelle l'Amylose (insufisance cardiaque...) Je ne peux rendre aucun service... et suis depuis lundi derner au Foyer Logement de Bel Air. Voci ma nouvelle adresse : Résidence Henri Douet, 1 rue de la Chesnaie, Bel Air de Combrée. 49520 Ombrée d'Anjou. Amitiés. Maurice.
Nous pensons à lui.
De Loïc DUSSEAU (cours 1984 et membre du conseil d'administration), le 11 décembre
COMBRÉE et JOHNNY
![]() |
Deux talentueux anciens combréens, avec lesquels j’ai pu partager de bons moments à Combrée au début des années 1980 (à une époque où leur turbulence apparente cachait leur profonde fibre artistique), ont eu l’occasion de travailler avec Johnny HALLYDAY (1943-2017). Résultats : des œuvres très réussies et vraiment marquantes de la carrière de l’Idole ! |
![]() |
- Le premier est naturellement le rennais Pascal OBISPO (Cours 1984) - devenu lui aussi une véritable Star - qui composa et réalisa pour Johnny HALLYDAY son 41ième album studio : « Ce que je sais », sorti en janvier 1998, avec le titre (devenu mythique) « Allumer le feu » qui enflammera le Stade de France.
- Le second, moins connu mais tout aussi brillant, est le nantais Laurent TUEL (Cours 1985) qui, devenu réalisateur et scénariste, réalisa le film (devenu culte) « Jean-Philippe », sorti en avril 2006, avec notamment Fabrice LUCHINI et Johnny HALLYDAY lui-même (rediffusé le 11/12/2017 sur France 2)
|
De Etienne Charbonneau (cours 1964), le 6 décembre
Combréens réunis à l’heure de la retraite
Emotion toute combréenne le lundi 4 décembre au Médiacampus, l’établissement qui regroupe des médias d’avenir au sein du Quartier de la Création sur l’ïle de Nantes. Un Ancien de Combrée prend sa retraite, loué par un autre Ancien qui fut son employeur sous les yeux émus d’un troisième Ancien qui l’aida à démarrer sa vie professionnelle… et tout cela grâce aux hasards de la vie. Le héros du jour est Bruno Chéné, cours 1974. Une vie professionnelle consacrée au journalisme et à la communication, achevée en septembre dernier. Bruno, né dans une famille spécialisée dans la chaussure choletaise, décide de marcher de son côté. Il fait ses premiers pas dans le journalisme, embauché comme jeune stagiaire au Courrier de l’Ouest par Etienne Charbonneau (cours 1964). Puis il passe à Ouest-France avant de se retrouver à Alphacoms, l’agence de communication d’entreprise nantaise créée par son ancien condisciple du Collège, Jean-Etienne Rime (cours 1975) où il va déployer ses compétences d’homme de contacts. Au moment des discours, Jean-Etienne Rime a évoqué leurs années d’études combréennes : « Bruno était sérieux, littéraire ». Et il a rappelé combien le Collège avait compté pour chacun : « Une éducation commune dans une institution qui savait forger des hommes autant que les instruire en plaçant les valeurs morales, chrétiennes et tout simplement humaines au-dessus des notes du devoir de maths ». Ce bel hommage de Jean-Etienne à son collège de Combrée se trouva matérialisé quand Romain, le fils de Bruno vint à l’heure des cadeaux offrir à son père une vaste affiche reproduisant les grands événements de sa vie. En haut, bien distinct, le collège de ses débuts. Les trois Anciens se sont trouvés réunis dans une même émotion. |
|
Jean-Etienne Rime, loue les qualités de Bruno Chéné |
Le fils de Bruno Chéné et Zoé, sa petite-fille, lui ont remis une |
Du cours 1964 : Jo Gohier, J.-F. Rod et G. Bodinier, le 4 décembre
Nos camarades du cours 1964 pensent à vous en vous proposant de quoi lire, voir et apprécier :
Jo Gohier : Bonne route vers Noël et vive la vraie Liberté, celle de se savoir aimé. Avec toute mon amitié. |
Gérard Bodinier : C'est peut-être une bonne idée de cadeau. 17€ + port 3€ |
|
![]() |
![]() |
|
Noël-2017 | Petit, mais debout |
Jean-François Rod : Voici des petits textes indicatifs pour "Aujourd'hui Saint-Roch", notre modeste bulletin de paroisse et pour le "Paris Notre-Dame". |
||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Comme l'éclair |
Jésus en BD |
La Saga d'Abraham |
Et les mistrals gagnants |
Fra Angelico |
Jésus l'Encyclopédie |
Bakhita |
De Marie DRAPEAU, épouse de Michel (cours 1949), le 11 novembre
Merci pour vos informations, je réponds pour vous tenir au courant de la santé de mon mari. Il est maintenant en EHPAD car il a la maladie d'Alzheimer et moi, j'ai la dmla (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Âge), ce qui me donne queques tourments. Bonne continuation et meilleurs voeux pour 2018.
De Roger BALLEIX (cours 1955), le 9 novenbre
Suite à la réception de la Lettre d'Information n°13, Roger nous donne de ses nouvelles :
En effet ce 24 juin 2017 j'ai eu un grave accident de la route au cours duquel mon épouse est décédée. Même si l'amour ne s'exprime pas de la même façon à vingt cinq ans qu'à quatre vingt un, nous vivions Annie et moi un amour fusionnel depuis cinquante neufs ans. Je te fais grâce du choc que j'ai ressenti quand on m'a annoncé cette nouvelle avant de me faire entrer au bloc. Pour ma part, je m'en sors avec de la vaisselle cassée : une mauvaise fracture ouverte du tibia gauche qui a été immédiatement opérée. .... Evidemment je n'ai pas droit à l'appui de ma jambe gauche et suis en fauteuil roulant depuis le 25 juin. Devenu veuf, dix jours après mon opération j'ai été transféré à la clinique Brétéché au service S.S.R. (Soins de Suite et de Réadaptation). |
![]() |
Voilà donc pourquoi je ne peux venir avec vous ce mois de décembre et je te serais reconnaissant de m'excuser à nouveau auprès de mes amis Combréens, mais par contre, tu peux leur assurer que je tiens à venir au printemps si tu organises quelque chose.
Des nouvelles rapides du cours 1945, le 8 novembre
Suite à des conversations téléphoniques avec Michel Martinot (cours 45) et Robert Gaeremynck (cours 45), nous sommes au regret de vous informer du très mauvais état de santé de leurs camarades de cours Monseigneur René SÉJOURNÉ et Monseigneur Jean TORTIGER, actuellement en maisons de retraite à Angers.
De Guy BERNIER (cours 1968), le 6 novembre
Vous souvenez-vous ? Lors des Journées du Patrimoine 2015, l'Amicale participa avec un stand tenu par Guy et surtout avec un concert gratuit donné dans l'ancienne base scoute par Marie Cherrier. Voir aussi ici.
Ce n'est pas une ancienne élève, mais la seule chanteuse invitée par notre Amicale à donner un concert ! Merci pour elle et à bientôt. Guy
Cliquez ci-dessous sur le teaser de Marie Cherrier concernant son projet de comédie musicale et que le réseau combréen fonctionne !…
De Jean-Michel ALBERT, le 26 septembre
Mon père Michel ALBERT (ndlr : cours 1944, arrivé au collège en 1ère Moderne le 1er oct. 1942, maître-élève et bachelier MathElem en juin 1944) est décédé le 29/12/2010. Je ne pense pas que nous ayons contacté Combrée pour sa mort. Voir ci-dessous. Sa grand-mère paternelle (ALBERT) était née HOUDEBINE.
Merci à M. Jean-Michel Albert de nous avoir communiqué les fruits de ses recherches (ci-dessous.)
Au moins trois HOUDEBINE ont été enseignants à Combrée :
René Houdebine 1851-1903, a été élève puis professeur à Combrée après 1876. ☞
Auguste Houdebine, 1901-1985, a été élève puis professeur à Combrée de 1932 à 1940, prisonnier de 1940 à 1945.
|
![]() |
![]() |
|
De Jean-Marie DRAPEAU (cours 1952) le 22 septembre
... J’ai quitté Combrée en 1950 et je n’ai donc pas connu l'abbé Valentin. Par contre le nom de l’abbé Audouin me dit quelque chose mais je suis incapable de le situer. A propos d’abbés, il me revient un souvenir. En seconde l’abbé Boulinguier - en ce qui me concerne le meilleur des profs que j’ai pu avoir à Combrée - nous avait fait jouer la Farce de Maitre Pathelin, une vieille pièce à connotation angevine. Philippe Soulas avait le rôle de Maitre Pathelin et moi celui du drapier à l’enseigne du “Drapeau d’Anjou”, une idée de Boulinguier ! Maitre Pathelin étant censé être très malade Ph.Soulas portait une grande robe de chambre, une grosse écharpe et était couché sur un lit. Pour faire plus vrai et plus malade il avait demandé de mettre un pot de chambre sous le lit. L’abbé Boulinguier avait refusé disant que c’était incorrect et même indécent de voir cet objet sur la scène. A l’époque il était difficile d’ imaginer au premier rang le chanoine Pinier, notre supérieur, en face d’un pot de chambre pendant une heure. Aujourd’hui on verrait cela certainement d’un autre œil. O tempora, o mores !
De Patrick Galland (cours 1964), le 21 septembre
Durant l'année scolaire 1955-1956 le dortoir des Saints Anges n'existait pas encore, dortoir du troisième étage est du collège.
A cette époque ce n'était qu'un grenier au bout duquel se trouvaient : au sud, un petit dortoir réservé aux '' Terminales '' Matheux et philosophes dont l'Abbé VALENTIN avait la charge de surveillance plus ou moins assidue et au nord, une chambre de quatre élèves, frères deux par deux et n'étant pas des même divisions.
En 1955-1956 cette piaule était occupée par Noël et Jean-Claude MERAND, mais aussi José Christian et Patrick GALLAND (votre serviteur). Je me souviens encore qu'au printemps 1956 j'ai dû aller rechercher mon polochon dans la cour des grands, polochon qui avait traversé la fenêtre heureusement ouverte.
Et durant l'année 1954-1955 , au dessus de la chambre de l'Abbé BOULINGUER se trouvait une chambre d'élèves occupée par les trois frères BULTEAU, Gérard (cours 1955), Pierre (cours 1958) et André (cours 1961). Il semblerait que ce cher abbé aurait été parfois contraint à faire du sport dont il n'était pas coutumier, à savoir monter au troisième étage pour je ne sais trop quelles raisons qui l'importunaient.
de Marie-Jo ABLINE (accueil collège et membre du C.A.), le 7 septembre
Bloquez dès maintenant le dimanche 1er octobre prochain, dans votre agenda, pour la 8ème édition de la Rando de la Verzée !
Alors, venez nombreux avec vos amis à cette 8ème Rando de la Verzée, vous passerez un bon moment et vous ferez une bonne action !
de Gérard Bodinier (cours 1964), le 20 juillet
Le dimanche 6 août 2017 à l'occasion de la fête du pain, je serai présent à Saint Omer de Blain (44130), près de Savenay. de 14h. à 19h avec d'autres auteurs locaux J'y présenterais mon ouvrage "Petit , mais debout !" (verso ci-contre) Je serai heureux de vous rencontrer. Je compte sur vous pour faire circuler l'info à dimanche!
|
![]() |
Merci Gérard : Allez-y nombreux, vous qui avez quasiment à écrire au Collège de Combrée avec tant de guides comme enseignants !
de Etienne Charbonneau (cours 1964), le 8 juin

- une photo de la classe Math avec le Père Math (abbé Vincent) de 1921
- une photo de la classe Sciences (Père Math et abbé Guinebretière Sc.Phys.) de 1931-32
- une photo de la façade du collège en novembre 1966
- une photo du réfectoire rénové en 1966
- un journal édité par des élèves du cours 1955
- les paroles ronéotées de l'hymne combréen des années soixante
- un article de journal évoquant le décès en 1956 de Joseph Pinier, supérieur
- un article de journal évoquant le décès de Louis Bessière en 1978 (Cf. La TAUPE)
- un article de journal évoquant une cérémonie militaire au collège
- un article de journal annonçant la nomination du chanoine Joseph Esnault en 1956
- un article de journal annonçant le départ en retraite de Pierre Deshaies, économe
- un article de journal annonçant le départ en retraite de Sœur Clarisse, à la conciergerie.
Merci Etienne pour ces souvenirs et ... bonnes explorations à tous !
de Jean-Louis Boulangé (cours 1964), le 12 avril
Lors d'une excursion au collège, j'eus l'occasion de visiter la chapelle du XVIIe siècle attenante au préau de la cour ouest (ou cour des moyens) ; elle date d'avant la construction du collège actuel ; elle fut connue sous l'appellation de Chapelle de la Sainte Vierge puis comme atelier de menuiserie. Son état est déplorable d'autant que la tempête du début d'année a très abîmé sa toiture ... mais cette dernière va être réparée. Elle avait sa symétrique dans la cour des grands : voir ici.
Un coup d'œil à l'intérieur et mon regard tombe sur un tas de gravats d'où sortait une petite photographie ... que voici.
|
![]() |
A gauche de l'abbé BOULINGUER, il se pourrait que ce soit Gabriel DION. Entre Dominique BOUTIN et le Chanoine ESNAULT, il se pourrait que ce soit Jean PETEUL (ou Jacques?).

Les enfants de choeur représentaient une brochette d'enfants jusqu'à la 4ème ou 3ème. Certains, sinon tous étaient assimilés à une future vocation sacerdotale. Je ne me souviens que de quelques-uns. Je n'ai pas de renseignements précis concernant les chapelles en question. Je les revois vaguement dans les paysages... C'était sympathique.
Maurice Augeul (cours 1958)
Rang du bas: à gauche, je pense à Allanore? et Beauvois?; entre Rivain et moi,Sourice? Et JF Piéchowski (de Chateaubriant), pour lui je suis sûr. Au 4ème rang, en civil à droite, JP Estrade ? Au dernier rang, le plus à droite, JF Diguet ? L'année est peut-être 1960.
Et vous , en avez-vous reconnu de ces enfants ... que nous étions ? Merci de nous faire part de vos souvenirs : contact
de Alain de Seychelles (cours 1964), le 12 mars
Merci Alain pour ce rappel qui évoquera pour beaucoup des souvenirs.
de Pierre Chartier (cours 1957), le 8 mars
Le 8 mars 2017, c'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai lu le n° 14 de la Lettre de liaison de l'Amicale, avec le compte rendu de l'assemblée générale.
Merci pour votre dévouement, à toute l'équipe du conseil d'administration.
Bien à tous.
Merci pour ces encouragements bien utiles
de René Schleiter (cours 1956), le 7 février
Tout d'abord, permettez-moi de me présenter : René Schleiter, du cours 56, originaire de Baugé (Maine et Loire). Exclu de Sainte Croix, collège des jésuites au Mans, j'ai attérri à Combrée à la rentrée de 1952 en classe de troisième avec l'abbé Renaud (je ne suis plus très sûr de l'orthographe) pour en sortir en juin 56 avec un baccalauréat de philosophie.
Mon père, lui-même ancien élève du cours 23 ou 24, avait estimé que je serai mieux à la campagne et il a eu raison. Le bon air est bénéfique aux cellules cérébrales ! Il avait eu le chanoine Pinier comme professeur de première et j'ai quitté le collège en même temps que ce dernier, puisqu'il est décédé, si je ne me trompe pas, en août 1956.
J'ai fait partie de l'association des anciens, mais je dois dire que je m'en suis retiré dans les années qui ont suivi 68, ayant boudé les fameuses fêtes des anciens. L'ambiance n'était plus la même, mes professeurs avaient tous pratiquement disparu et, habitant la région parisienne, j'ai perdu l'allant qui m'était nécéssaire pour entreprendre le déplacement.
Tout ça pour vous dire que je vous remercie de m'avoir envoyé la récente Lettre de liaison. J'y ai trouvé beaucoup d'intérêt et surtout de découvrir le site de ce qu'était le collège : que de souvenirs, même si la cour des des grands a été transformée en parc à moutons; c'est un souvenir douloureux! Ce que je vous en dit, c'est la photographie de la page 7 qui m'y incite. Je frise les 80 ans. Même si j'ai fait un infarctus du myocarde en juin dernier, je suis plutôt en bonne santé.
Bon courage pour tout ce vous entreprenez. Je ne sais pas très bien ce que font l'EPIDE et 2IDE, mais je compte sur eux, en collaboration avec le maire de la commune, qui semble dynamique, pour maintenir ce qui reste de l'établissement, chef d'œuvre de l'architecture du 19e siècle. Je découvre une Jeanne-Françoise Gazeau, qui doit être, selon toute vraisemblance, une petite fille du prof. d'histoire, aussi savant que caustique, qui a su nous donner une culture que l'on ne trouve plus maintenant. Si vous en avez l'occasion, dites-lui bien que nous avons gardé de ce prof. un des meilleurs souvenirs de notre internat.
En pièces jointes, je vous adresse trois photographies, que vous n'avez peut-être pas, prises en juin 1954, lors de la "promenade des centimes" sous la houlette de l'abbé Boulinguier que vous avez peut-être connu. Il a été mon professeur de français-latin-grec en seconde et en première (pour cette dernière classe, à la suite du décès inattendu du titulaire, l'abbé Chupin). Quant à mes camarade sur la bicyclette que je pilote (photo jointe à ce courriel), il s'agit de Pierre Chalvignac, assis sur le guidon, décédé malheureusement il y a une quinzaine d'années, de André Rivron à la retraite comme amiral de la Royale assis sur le cadre et Roger Galloin, |
![]() |
Vous me pardonnerez d'avoir été aussi long et, probablement, un peu "ancien combattant" qui radote ses souvenirs. Mais vous m'avez tendu la perche avec
votre envoi.
Bien cordialement.
de Michel Hamard (professeur), le 20 janvier
Bonjour à tous, anciens élèves, anciens collègues et à tous ceux qui me lisent ; je vous adresse, à tous, pour l'année 2017, mes meilleurs vœux de bonheur et de bonne santé.
Aujourd'hui, après 40 années d'enseignement, un métier que j'ai beaucoup aimé et exercé avec passion jusqu'à ma dernière heure de cours, bien ou mal, je n'en suis pas juge moi-même, 30 ans exactement à Combrée, jusqu'à cette déchirante fermeture en 2005, puis 9 années à Château-Gontier dans un établissement qui m'a vraiment bien accueilli, sans tout de même me faire oublier complètement Combrée, j'ai cessé mon activité depuis 2 ans maintenant ; je m'occupe, je bricole et je veille sur mes 3 enfants ; mis à part le sujet du bac que j'étudie encore chaque année pour vérifier si mes compétences ne s'émoussent pas trop vite, je ne pratique plus guère les mathématiques, si ce n'est inconsciemment peut-être, par la logique qu'elles ont bien dû m'apporter.
Je faisais allusion à mes enfants précédemment, c'est aussi ce qui m'amène à me tourner vers vous aujourd'hui pour solliciter le soutien de ceux qui le peuvent et le souhaitent, de ma fille Marie, deuxième de mes 3 enfants, chanteuse lyrique, mezzo-soprano, aujourd'hui âgée de 30 ans.
Après des débuts en variété, premier concert à l'âge de 11 ans salle Saint Augustin, puis 15 ans de piano, 21 ans de solfège et 5 ans de conservatoire, Lille et Genève, et des études littéraires en parallèle, Marie est devenue chanteuse d'opéra, diplômée d'un master interprétation de la Haute École de Musique de Genève, et a fait de cette passion pour le chant lyrique et l'opéra qui l'anime depuis l'âge de 17 ans, son métier depuis déjà plusieurs années ; elle vit à proximité de Genève et chante beaucoup sur Genève, Lausanne, Neuchatel, mais aussi à la folle journée de Nantes début février et à la folle journée de Tokyo, début mai, avec l'Ensemble Vocal de Lausanne.
Indépendamment des divers chœurs dans lesquels elle est engagée,
- Ensemble vocal de Lausanne, direction D.Reuss,
- Ensemble vocal Cantatio, direction J.Duxbury,
- Ensemble Polhymnia, direction F. Marcon,
Aujourd'hui, elle et son compagnon Benoit Dubu, chef de chœur, montent un chœur professionnel nommé L'Horizon Chimérique et ils recherchent, dans le but de démarrer, de généreux soutiens pour les aider à surmonter les frais de mise en place (communication, indemnisation des choristes, etc…). Si vous le pouvez et le souhaitez, vôtre contribution, même modeste, sera la bienvenue ; la possibilité vous en est offerte par l'intermédiaire d'un site sécurisé dont je vous précise le lien ci-dessous : https://fr.ulule.com/lhorizonchimerique/
Pour info, j'ajoute, ci-dessous :
- le lien vers le site internet de Marie : http://www.mariehamard.com/
- le lien vers le site du trio qu'elle a constitué : http://www.lesrecreationslyriques.fr/
- le lien vers un extrait de son spectacle : https://www.youtube.com/watch?v=iCVg9l_YWjg-
- le lien vers le site de L'Horizon Chimérique, chœur qu'ils créent : http://lhorizonchimerique.com/
- et enfin le lien vers un extrait de présentation : https://www.youtube.com/watch?v=JjD-HaC3qTI
Merci à tous de vôtre patiente lecture, merci d'avance à ceux qui soutiendront Marie ;
Salutations cordiales à tous les Combréens et sympathisants.
Amis et anciens élèves, un coup de main dans l'esprit combréen sera bienvenu ! Pour participer à ce coup de main, nous contacter.
de Jean-Marie Drapeau (cours 1952), le 12 janvier
- Nous pouvons aussi revenir au régime précédent à savoir n'envoyer la version papier uniquement à celles et ceux qui sont à jour de leur cotisation, mais le nombre d'envois sera-t-il suffisant pour bénéficier de tarifs postaux préférentiels.
- Pour information, dans notre listing, il n'y a que 54 anciens et amis sur 655 qui ne nous ont pas donné d'adresse électronique.
- La sensibilisation obtenue par l'envoi postal est-elle suffisante par rapport à l'envoi par internet ?
- Pour l'instant, cette modification dépendra de vos avis.
de Patrick Morand (cours 1967), le 10 janvier
de Jean-Paul Hubert (cours 1964), le 6 janvier
(...) et je souhaite à tous, sans y croire vraiment, une année où la fraternité retrouverait ses droits et ses devoirs. Amicalement
de Jacques Vignais (cours 1967), le 6 janvier 2017
Pour commencer tous mes voeux de bonheur et santé pour cette nouvelle année
Pour le regroupement des scouts de Combrée je suis partant.
Suite à l'appel pour la récupération d'objets mobilier, j'ai en ma possession un lit d'un dortoir que je peux céder.
Amicalement
le 3 janvier 2017
de André Lardeux (cours 1964), Bonne année à tous. Pourquoi pas une prochaine rencontre (du c. 1964) ?
de Bernard d'Alençon (cours 1964), Bien d'accord avec Jacques ! Belle, heureuse et féconde année à chacun de vous.
de Jacques de Jourdan (cours 1964), Bonne année en effet à vous tous, et que la Vierge Combréenne continue de nous protéger.
de Jérôme Valjean (cours 1964), le 3 janvier 2017
Cliquez pour atteindre les échanges des années : 2015 ; 2016