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Claude Gilet est du cours 1971 et destinataire des nos publications
Craon
Claude Gilet, la politique dans les gènes
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Marié et père de deux enfants, Claude Gilet a été élu, dimanche soir, maire de Craon.
Tête de la liste « Osons ! Craon autrement », il succède à Paul Chaineau.
Né à Renazé en 1951, il habite depuis trente-cinq ans dans la commune.
Il est cadre notarial, salarié du cabinet Aubin-Ménard, le seul de la ville.
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« J'ai fait mes études notariales à Paris, mais j'avais l'envie de revenir en Mayenne dès que possible », confie-t-il. La politique est une histoire de famille, puisque son frère, Bruno Gilet, est maire de La Boissière.
Il fait ses débuts en politique lors des élections municipales de 1989, aux côtés d'Henri de Gastines, tête de la liste RPR, bien que lui-même ne soit pas encarté. « À cette époque, j'ai été conseiller municipal de l'opposition. Mais je voulais faire plus qu'être dans l'opposition. » Il siégera au conseil, le temps d'un mandat.
Peu loquace, il n'en est pas moins investi. Au niveau local, il a intégré le milieu associatif, il y a plus de trente ans. D'abord le comité commercial, puis, pour mieux accompagner ses enfants, il s'implique dans l'Association des parents d'élèves de l'enseignement libre et l'Organisme de gestion de l'enseignement catholique. Il a aussi été membre de l'association pour la restauration des orgues craonnais et vice-président de l'association de Participation à l'urbanisme craonnais (PUC) solidarité Emmaüs aide au logement : « Nous gérons 42 logements de façon bénévole », rappelle-t-il.
Son engagement important dans l'enseignement libre fait écho à sa scolarité au collège et au lycée à l'Institution libre de Combrée (Maine-et-Loire). « Où, dit-il, pour anecdote, était également inscrit le neveu de De Gaulle. »
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du 3 juin 2021 ? Contactez-nous
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Chemillé-en-Anjou.
Jean-Hugues : 40 ans au service de l'Église
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L’église Notre-Dame était en fête ce dimanche. Les paroissiens s’étaient réunis pour fêter la sainte Trinité, mais aussi fêter avec le père Jean-Hugues Soret, curé de la paroisse Notre-Dame en Chemillois, ses 40 années de ministère au service de l’église d’Anjou.
C’est Claudine Cesbron, membre de l’équipe animation paroissiale, qui s’est chargée de dérouler son parcours ecclésiastique depuis son ordination.
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Esprit de Fraternité
Jean-Hugues, après des études secondaires à l’institution libre de Combrée, vous intégrez l’université d’Angers pour des études de philosophie. Répondant à l’appel de Dieu, vous entrez au séminaire et vous êtes ordonné prêtre le 31 mai 1981.
Vous avez célébré les sacrements dans de nombreuses paroisses (Doué-la-Fontaine, Beaupréau, Le Lion-d’Angers, Saint-Germain-sur-Moine, Montfaucon, Chalonnes-sur-Loire, Saumur, 2/2 Beaufort-en-Vallée, Vihiers) et bien sûr Chemillé et ses douze clochers.
Vous portez jour après jour la lumière pour éclairer le chemin de milliers d’enfants, jeunes et adultes.
Votre mission de prêtre est aussi de conduire l’église, et c’est ce que vous avez fait comme prêtre aumônier du MRJC (Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne) dans le diocèse, ou encore vicaire épiscopal pour le Saumurois et le Baugeois.
En tant que curé, vous coordonnez dans un esprit de confiance, de fraternité, les différents services d’église. Je vous sais à l’écoute, disponible malgré vos nombreuses missions et soucieux de l’unité de la paroisse. Vous avez accepté la responsabilité du doyenné du Layon et le rôle d’administrateur des trois paroisses autour de Brissac.
Vous appréciez ces moments de convivialité qui nous manquent en ces temps de restrictions sanitaires. Vous êtes aussi attentif à la santé de ces grands édifices de pierres : nos églises, et vous attachez de l’importance à la décoration florale des lieux saints. "» Des personnes représentant l’ensemble des relais paroissiaux et les différents services sont venues déposer 40 lumières devant l’autel pour le remercier des liens tissés.
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