Depuis fin février 2025, des évènements extérieurs à notre Collège ont motivé chez certains de nos camarades anciens élèves des dénonciations d’abus (violences physiques ou sexuelles) qu'ils ont pu subir durant leur scolarité au Collège.
Vous trouverez ci-dessous :
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- une revue de presse illustrant cette libération de la parole, - les éditoriaux de nos Lettres d'information mensuelles où l'Amicale a clairement revendiqué son soutien aux victimes. - un contact spécifique où il est toujours possible de signaler tout abus et/ou de livrer un témoignage. |
Revue de presse
Des signalements ont d’abord été publiés sur "Combrée Beach", où l'Amicale a choisi de laisser la parole se libérer, puis, à compter de fin mars, dans divers médias :
Mai 2025
Le 04 : et Vidéo;
Avril 2025
Le 30 :
Le 16 : Vidéo-FR3 ;
Le 14 : ;
;
Le 11 :
Le 09 :
Le 06 :
Mars 2025
Éditoriaux de nos Lettres d'information
Si vous ne recevez pas encore ces Lettres mensuelles, recopiez ou envoyez nous ce document par courriel ; vous aurez la possibilité de vous désinscrire en bas de cette Lettre.
Éditorial de mars 2025 : Dans le sillage de l’affaire Bétharram
Éditorial d'avril 2025 : Du temps de la solidarité à celui de la justice
Éditorial de mai 2025 : En quête de vérité
Signalement
Depuis 1890, l'Amicale a toujours fait preuve de solidarité envers les anciens ou anciennes élèves de Combrée et, dans ces circonstances dramatiques pour certains d'entre eux, il est de son devoir de les écouter, de les soutenir et de les aider dans leurs recherches ou démarches pour que leur statut de victime soit reconnu malgré la prescription pénale des faits dénoncés qui remontent à plus de 30 ans.
Aussi, dès le 1er mars dernier, elle a mis en place une cellule d'accueil, d'écoute et de signalement des abus (
Sachez que l'Amicale a découvert ainsi de trop nombreuses victimes de plusieurs prédateurs, laïcs ou prêtres, et qu’elle poursuit sa propre enquête pour contribuer à la manifestation de la vérité, en liaison, d'une part, avec la Justice saisie d'une dizaine de nouvelles plaintes pénales à l'encontre d'un ancien surveillant général et, d'autre part, avec le Diocèse d’Angers et l'Instance Nationale Indépendante de Reconnaissance et de Réparation pour permettre une éventuelle indemnisation d'abus qui auraient été commis par des membres du clergé.