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  • - un(e) ancien(ne) du collège ;
  • - un(e) ancien(ne) de la colonie Ker Madeleine ;
  • - de la famille d'un(e) ancien(ne) de la colonie Ker Madeleine ;
  • - un(e) ancien(ne) moniteur(trice) de cette colonie ;
  • - juste curieux de connaitre cette colonie de vacances d'une autre époque. 

Destination Ker Madeleine - 1900 - 1968KerMadeleine2 

Pourquoi ce film se retrouve-t-il ici ?

Ces images que l'Amicale est heureuse de vous présenter attendaient depuis 60 ans qu'on les sorte de leur armoire.
La Colonie Ker Madeleine a toujours fonctionné avec des encadrants du Collège d'alors, elle accueillait les enfants des environs dont certains étaient également élèves au Collège. 

Avertissement :

C'est un film amateur en 8 mm des années 50-60, numérisé avec la qualité d'alors, loin des standards actuels. 
Le montage ne vise pas à faire la promotion d'un lieu qui n'existe plus ; il veut simplement être le reflet de cette époque.

Vous pouvez regarder la vidéo en ligne par un clic gauche sur les liens ci-dessous.
Vous pouvez aussi la télécharger d'un clic droit sur les mêmes liens, puis sélectionner "Enregistrer …"
   notamment si votre connexion a un débit insuffisant. 
   
Il faudra être patient, le téléchargement peut durer plus d'une heure.

Un film en deux parties

Partie 1
Historique des lieux
et de la colonie (9 min)
Pour tous  Lien de
téléchargement
de la partie 1
clic

KerMadeleine 1

 59 Mo

   

Partie 2
Des images "au fil des ans" 
(66 min)

Pour les anciens(nes)
de la colonie
et leur famille
Lien de
téléchargement
de la partie 2
clic 

KerMadeleine 2 1500 Mo

 En cas de non-fonctionnement de ces liens à cliquer, voici deux autres liens pour les mêmes vidéos
 plus lourdes et techniquement moins modernes : Partie1 (685 Mo) clic et Partie2 (10 097 Mo) clic

Quelques séquences assez longues ont été gardées dans le but que chacun puisse se reconnaitre ;
il y a parfois des images "brûlées" mais qui sont témoins d'une activité ou d'un moment intéressant.
 

Commentaires

Faites part ici de vos commentaires et questions clic. Vos souvenirs, pourront ensuite être repris sur cette page.
            Indiquez votre n° de téléphone et une adresse courriel ainsi que vos nom et prénom ; ils resteront confidentiels
            mais pourront, avec votre accord, être communiqués à ceux qui voudraient reprendre contact avec vous
            et/ou être publiés ci-dessous.

Peut-être reconnaitrez-vous un ancien copain ou une vieille amie que vous aimeriez retrouver.

À vous qui êtes curieux de la colonie Ker Madeleine, profitez de votre passage sur ce site de l'Amicale des Anciens et Amis du Collège de Combrée, pour le visiter, et pourquoi pas pour adhérer en tant qu'ami (nouvelle fenêtre) ! 😊

 

Vos réactions à ce film (3 de la presse régionale et 8 parmi les anciens de cette colonie)

 new Article paru dans le Bulletin des Anciens Élèves et Amis de Combrée n°343 de juin 2023 : voir ici
(Bulletin disponible ici jusqu'en décembre 2023)

Article du dimanche 26 février de OUEST-FRANCE : deux versions (numérique et journal-papier) à lire ici 

Article du 3 mars 2023 du HAUT-ANJOU : version à lire ici journal-papier

Articles de 1954 à 1968 parus dans OUEST-FRANCE : à lire ici.

 

Réaction de Hubert Violleau (1/8)
Bonjour,
D'abord je tiens à vous remercier pour cette rétrospective de la colonie de Ker Madeleine.
Je suis né à Pouancé en 1956, j'ai fréquenté la colonie plusieurs années et le collège de Combrée durant une scolarité de 3ème mon professeur de maths étant Mr Carré que j'appréciais énormément, comme j'adorais le Pouliguen et surtout la petite crique en face de la colonie, j'y suis retourné très souvent habitant à cette époque dans la région Vannetaise y emmenant ma femme et mes enfants pour leur raconter cette période de ma jeunesse, les promenades à pied jusqu'à la plage de la Govelle et même au dela, les feux de camp le soir pendant lesquels son fils jouait de la guitare. C'était vraiment de bons moments. Plusieurs fois j'ai rencontré M. Carré qui se baignait dans cette petite crique, nous nagions ensemble c'était un monsieur d'une très grande gentillesse et professeur formidable.

Merci pour ces bons souvenirs.

Réaction de Monique Gabillard (2/8)
Je suis une ancienne monitrice de la colonie de Ker Madeleine j’aimerai bien avoir la vidéo de la colonie Monique Ménard née Gabillard de Combrée.
  J’étais aussi avec ma sœur Thérèse. Remerciements
Je n’arrive à avoir la vidéo sur le site de l’amicale des amis de Combrée

Réaction de Marie-France Hunault (3/8)
J'ai vu votre annonce sur Facebook Pouancé, je vous envoie ce court article du Courrier de l'Ouest qui parle de Ker Madelaine du 25 juillet 1963.
J'espère qu'il pourra vous être utile. 
Cordialement.

Merci à vous

1963 07 23 ColonieKerMadeleine CO 

Échange téléphonique entre J.J Carré et Jules Aligand, 90 ans, ancien maire de Combrée, ancien fendeur aux ardoisières de Bel-Air (4/7)
Très surpris et content d'avoir lu l'article dans Ouest-France. 
Il a aussitôt regardé le film sur sa tablette (Ardoize) !! pour tenter d'y voir son épouse (décédée en 2000). Hélas, les images les plus anciennes datant de 1958 (?), il ne la verra pas : il a bien sûr regardé la totalité du film avec intérêt. 
 
Que d'émotions et de souvenirs … !
Le plus marquant : 
en 1955, au moment de la grande grève des ardoisières. ils sont partis vers le Pouliguen, lui en scooter Vespa pour voir son amie Christiane, et André Grégoire un collègue de Misengrain en mobylette pour retrouver sa fiancée Jacqueline. Christiane Bouteiller était la fille du fermier du collège, jeune institutrice et directrice de la colonie des filles ; et Jacqueline Cochain était monitrice. 

Elles avaient été recrutées par l'abbé Davy professeur au collège. Grande ambiance à la colonie, beaucoup d'enfants. Ils resteront 2 jours sur place "dormant sous une grande tente américaine, en tout bien tout honneur", et se marieront l'année suivante. "Je n'oublierai jamais ces deux jours passés à Ker Madeleine ! Cette grève à Bel-Air était grave, nous avions besoin de changer d'air !"

Réaction de Chantal Berthet (épouse Thomas) (5/8)
Avec grand intérêt, nous avons lu l'article du 25 février nous informant sur la création de la colonie Ker Madeleine que nous avons fréquentée durant plusieurs années.
Le film de Jean-Jacques CARRÉ nous a particulièrement touchées et émues car nous pouvons voir notre Maman, Andrée BERTHET (décédée il y a presque 18 ans) alors qu'elle était âgée à l'époque d'à peine 30 ans. Nous nous reconnaissons également à plusieurs reprises (ma soeur et moi-même) et cela nous a fait vraiment très plaisir.
Quelle merveilleuse idée de Monsieur Jean CARRÉ ! Ce sont des souvenirs inoubliables.
A votre demande, nous avons repensé à plusieurs anecdotes (jointes à ce message) et nous nous permettons de vous les adresser et de vous faire part de notre ressenti en évoquant ce passé.
Belle journée à vous. Bien cordialement.

Réactions de Marie-Jo Abline, née Esanult, membre du Conseil d'Administration de l'Amicale (6/7)
Je viens de visionner le film...que de souvenirs...les cuisiniers familles Prodhomme, Saillant...Jean David...l'abbé Neau..(Pernod)....etc..
As-tu été colonne à Ker Madeleine ?
Oui en 1954,  55,  56, 57 ...58 peut-être..avec l'abbé Jean Davy
Souvenirs merveilleux...
        Les marches à la Govelle
        Guérande...
       Se rendre à jeun le dimanche à la petite chapelle du Pouliguen...
       La pesée à la pharmacie au bout du pont....toujours là...
       La maison brûlée juste en face de la colo...
Et nous étions 15 à 20 colons de Bourg d'Iré .... j'y tiens... ! !

Réaction de la famille Stéphan, moniteurs (7/8)
Bonjour J.J. Carré !
J'ai reçu ce midi un coup de téléphone surprise de Chantal Thomas (Berthet), fille d'une des cuisinières de Ker Madeleine. Par l'intermédiaire d'un ami qui habite dans la même rue è Avrillé (49240), elle m'a retrouvée car j'ai été sa monitrice de colo de Ker Madeleine de 1964 à 1967 et en 1967 date à laquelle j'avais la direction de la colo filles ! Je m'appelle Marie Odile Girard (Stéphan) et j'ai 2 frères Jean-Pierre et Michel qui ont été moniteurs colo garçons pendant la même période. C'était par l'intermédiaire d'un autre frère Alain Stéphan professeur (NDLR : en série moderne à/c de 1962) au collège de Combrée que nous avions eu connaissances de cette colo.

Que de bons souvenirs en voyant cette vidéo !! Je me souviens de vos parents tellement gentils, de votre petite sœur Mylène dans mon équipe et des réunions de moniteurs dans la véranda une fois les colons couchés et de quelques moniteurs et monitrices ! Un retour en arrière de presque 60 ans avec ces images c'est formidable et suite à notre entretien téléphonique, on  a prévu avec Chantal de se retrouver pour repenser à ces bons moments puisque on habite dans la même ville et non loin l'une de l'autre !!!

En espérant peut être retrouver d'autres membres de cette colo je vous souhaite  à vous et à votre famille toute mon amitié et vous félicite pour le travail de recherche accompli ! Merci. Bonne fin de journée. Marie Odile Girard

 Réaction de Christian Corabœuf, cours 1964, colon (8/8)

Félicitations pour avoir fait surgir du passé ces images de Ker Madeleine.

Habitant La Baule, depuis ma retraite, j’ai souvent l’occasion de passer sur la côte sauvage devant l’emplacement où était jadis la colonie Ker Madeleine . Il y a là maintenant une belle villa récemment rénovée mais plus aucune trace de l’ancienne colonie. Je racontais à mes enfants, que ,quand j’étais petit, je venais en colonie ici. Ils m’écoutaient avec un intérêt poli ; quant aux petits enfants ,je crois que c’était parfaitement inaudible pour eux.

J’ai été à Ker Madeleine, trois années de suite, en 1954, 1955 et 1956. C’était avant les photos qui sont montrées dans le reportage. Les photos de mon époque resteront toujours dans des limbes photographiques. Néanmoins, je retrouve dans ces photos la configuration du terrain tel qu’il était, l’emplacement des tentes où on couchait et les endroits où on pouvait jouer. A cette époque, c’était l’abbé Davy qui était en charge de la colonie. Il fut par la suite mon professeur de quatrième. Je me rappelle particulièrement de l’année 1954, j’avais huit ans. Le deuxième dimanche, un car amenait les parents qui le souhaitaient voir leurs enfants ; cette année-là, seul mon père vint me voir, ce qui m’étonna. Je compris plus tard. A la fin du séjour, le car nous ramena à Pouancé, c’était le soir du 15 aout . Mon frère naquit dans la nuit qui suivit. Je crois me souvenir aussi , mais est-ce une illusion de la mémoire, qu’une année nous étions arrivés juste après une tempête, la nuit nous entendions les avions qui recherchaient des survivants d’un crash au-dessus de la mer. Je me souviens bien par contre des marches, longues pour des petites jambes, vers la plage de la Govelle et les dimanches matin la marche vers la chapelle Sainte Anne pour assister à la messe, messe selon l’ancien rite, avant le concile Vatican 2  De nos jours la chapelle Sainte Anne n’est plus ouverte qu’en septembre pour l’exposition « l’art au gré chapelles » ; j’y vais régulièrement. Il n’y a plus bien entendu aucun culte et pourtant cette chapelle est magnifique.

Ce que je retiens de cette séquence d’ images qui s’étalent sur dix ans, c’est la joie de vivre de tous ces enfants, d’une époque révolue, époque sans smartphone, ni écran, des jeux simples et sains. Ce que j’en retiens : les ados plus nombreux sur la fin, des prêtres qui passent de la soutane au costume après le concile. L’abbé Macé toujours présent. Sa sœur habitait la Baule. L’abbé Neau qui fut un grand animateur. La fin de Ker Madeleine 1968, le basculement dans une autre époque.

Encore Merci pour avoir fait revivre cette histoire.

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" In search of the mapinguari "

un film tourné en 1997 dans la réserve des Indiens Mundurucu en Amazonie.

Un ornithologue anglais est convaincu de l’existence de mapinguari, ce « yeti » amazonien et une équipe de tournage l’accompagne pendant trois semaines. Intéressant de voir comme un scientifique peut tomber dans la croyance…
Me voilà avec mon avion à Jacareacanga sur le rio Tapajós, d’où j’embarque dans la plus loufoque des expéditions…

2022 Jammes a                      2022 Jammes b    2022 Jammes c
Le chef du village avec l'anglaise du team   une jeune mundurucu   Fils du chef, Loïs et le filmmaker derrière
 
 
Quelques instantanés extraits de ce film :
Lucho 5       Lucho 6
     
Lucho 8   Lucho 11
 

N.B. Louis-Marie Jammes cours 1967 fut pilote de brousse en Amérique du Sud
Sur ce site, vous trouverez ses écrits commis depuis son retour en Bretagne,
Ils sont à votre disposition, la plupart vous est offerte gratuitement.


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Vos Réactions

Jean-Jacques Carré, cours 1968

Il explorait les souterrains avec ces fous de la Taupe au collège.
On le voit là, 30 ans plus tard en forêt amazonienne, accompagner un groupe de chercheurs de mapinguari ! Sceptique, mais visiblement content d'être là (cf. le film).
Il creuse aujourd'hui d'autres rivages, la musique, l'écriture, …
Louis-Marie au collège, Lucho en Bolivie, Loîs en Bretagne, c'est bien le même (lui et son double qui nous surprennent), la planète vue du ciel, les pieds sur terre, le regard lucide de l'utopie. 

À tous, au plaisir de vous revoir le 25 juin à la fête des anciens !

Jacques Vignais, cours 1966

Que de souvenirs qui reviennent, il était dans ma patrouille scouts, surtout pendant l'opération survie dans les îles Chausey, où il avait recueilli un jeune goéland, qu'il avait gardé chez ses parents. 
Amicalement 

 

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Craon.

Électro-hypersensible, il vit reclus en Mayenne

                                  

Il ne supporte pas les ondes, quelles qu'elles soient. Yves Brillet, 70 ans, n'utilise donc jamais de téléphone portable, ne s'expose pas au WiFi, fuit la proximité des fils électriques, des réfrigérateurs ou des micros. Cet "électro-hypersensible" vit dans une maison en pleine campagne à quelques kilomères du bourg de Craon depuis le déclenchements des symptômes.

  Yves Brillet

Vivre dans une maison en pleine campagne, sans téléphone ni internet, parfois même sans électricité... Voilà ce à quoi doit s'astreindre un électro-hypersensible comme Yves Brillet, 70 ans, qui exerce la fonction de prêtre, à Craon. Il y a quelques mois, il a dû changer profondément son mode de vie et quitter la région de Troyes pour s’installer dans le sud Mayenne, chez son frère qui possède un logement qui lui convient.

Une sensation de brûlure dans la bouche

Quand il est en présence d’ondes, ou même d’un simple fil électrique, les effets sont immédiats sur Yves Brillet : "S'il y a un portable à proximité, je le sens tout de suite. Ça provoque des sensations de brûlure du palais et de la langue, une forte pression, plus ou moins intense selon l'importance des ondes. Mais aussi, j’ai le dos et le cou meurtris, comme si j’avais été battu, le tout accompagné d’une forte fatigue" détaille-t-il.

Des vêtements et un lit spéciaux

Il est parfois difficile pour lui de garder le moral, d’autant plus que c’est un mal qui ne se soigne pas : "Le premier objectif, c’est de se tenir loin de toutes les sources d’ondesIl faut faire une « mise à la terre » en prenant des douches. Je possède également une casquette et un foulard spéciaux avec un fil de cuivre. J’ai aussi installé une cage de faraday au-dessus de mon lit, une sorte de moustiquaire connectée au sol. Il y a aussi des aliments à proscrire, comme tout ce qui est à base de lactose, de gluten, qui favorisent le ressenti des ondes" explique-t-il.

Faire trois kilomètres en voiture, un effort "très pénible"

Yves Brillet est aussi chimico-sensible : il ne supporte pas non plus les émanations de produits chimiques, les liquides-vaisselle, la fumée de bois et les gaz. Bien souvent, les deux intolérances vont ensemble selon lui. Pourtant, tous les matins il va célébrer une messe dans un monastère. "Mais la voiture, c’est devenu très pénible. Les trois petits kilomètres qui me séparent de Craon me sont difficiles. Et une fois sur place, il faut que tous les éclairages et micros soient éteints" poursuit-il.

Correspondre pour tenir le coup

Pour s’occuper, le religieux passe une bonne partie de ses journées à correspondre par courrier avec d’autres électro-sensibles : "Ce lien avec les autres, c’est très important. On échange notre vécu, et on se donne des astuces"dit Yves Brillet. "Une personne m’a par exemple fait remarquer que mes lunettes métalliques faisaient antenne. Tout comme ma montre, j’ai dû passer au tout plastique". Il reçoit aussi un soutien moral : "Habituellement, c’est l’incompréhension. On se dit que c’est psychologique, vu que les ondes on ne les sent pas. Pourtant, nous on les ressent vraiment !". Alors face à cette souffrance, il lance un message de prudence : "Soyons tous vigilants sur notre exposition aux ondes, particulièrement avec les enfants !".

 

N.B. Si vous voulez correspondre avec Yves Brillet.

Nous lui ferons parvenir vos messages par l'intermédiaire de son frère Jean-François (cours 1964).
Yves a participé au Jamboree Scout en Grèce en 1963 : souvenirs (accès réservé aux adhérents)


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Vos Réactions

 1. Réaction de Jean-François Brillet, son frère

     La situation a un peu changé depuis 2018, concernant mon frère Yves : après avoir habité pendant 2 ans dans une petite maison indépendante et mitoyenne de la nôtre, il est maintenant logé au monastère des Bénédictines de Craon ; ce lieu laisse passer très peu d'ondes et, sans être une zone blanche, lui permet à la fois de pouvoir assurer des offices auprès des religieuses et de recevoir dans son petit logement des personnes avec qui il peut avoir une vie sociale. Sa vie demeure compliquée, sans téléphone, ni internet,  ni lumière artificielle qui continuent d'être responsables des mêmes symptômes d'électro hypersensibilité  (EHS) .
     Alors oui, Jean-Jacques, Yves apprécierait forcément une visite de ta part ; je lui en ai parlé hier, car nous nous voyons chaque semaine et à chaque occasion de rassemblement des membres de notre famille ; tu ne peux pas le joindre par les moyens de communication moderne, mais il peut écrire et il le fait volontiers ; voici l'adresse où tu peux le contacter : Yves Brillet   -  Monastère des Bénédictines , 15 rue de la Libération , 53400  Craon
     Sauf le mardi, il est disponible de préférence l'après-midi ; il fait chaque jour une promenade sur la "voie verte" toute proche , ce qui lui permet aussi de rencontrer des gens ...
 

 

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